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  • : Blog de Vincent, coureur ASPTT Paris Jogging
  • : Point de vue d'un passionné de course à pied au travers de ces diverses sorties solo ainsi qu'au sein de son club.
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Signer contre le Barrage en Amazonie

23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 20:56

francois au 12ème kmCe matin deux ACRistes se donnèrent rendez-vous à Salin les bains pour l'ascension du Mont Poupet.

 

A 10h00, il commence à faire déjà bien chaud, et les dégrés vont s'élever au fur et à mesure de l'ascension.

 

Parti avec prudence car j'ai les jambes bien lourde après notre week end d'organisation, beaucoup de fatigue cumulée et pas grand chose dans le ventre.

 

Mais depuis les Vosges, mon ange gardien veille sur moi.

 

J'apperçois dans un premier temps Daniel Mazaud que je dépose dans la première côte, puis je me rapproche d'Alain Vourch (son premier Poupet).

 

Revenant à son contact dans la côte, je le vois s'emballer un peu dans la descente mal grès mes conseils prodigués la veille à notre buvette.

 

Il va me distancer de près de 500m que je reprendrais au train dans la seconde côte, alors en plein soleil.

 

Je me relâche un peu dans le descente avant de prendre le dernier virage à droite.

 

Alain Comtet me dépose dans le dernier virage.Mais bon, parti sans la moindre pression ni aucune prétention.

 

Je termine en 1h24'56" à la 136ème place sur 1065 quand à notre ami François Bonzon, il termine en 2h04'15" à la 966ème place (son premier Poupet)

 

Ensuite retour au calme pour un repas bien mérité et deux pressions qui descendirent bien trop vite.vincent-au-12eme-km.jpg

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 22:50
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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 14:38

Patroné par ING, le Marathon du Luxembourg est le plus dur qu'il m'est arrivé de faire.

 

C'est un intra-muros avec plein de montées et de relances, parti sur des bases un peu trop rapide (13 km/h) que j'ai réussi à tenir jusqu'au 30ème ou je passe en 2h18" environ.

 

lux5.jpg 

Seulement le couperet allait rapidement tomber, commençant à avoir des crampes autour du 31ème km, et devant les 12 derniers km de ce Marathon tout en faux plat montant, escompté les 1200m de l'arrivée.

 

Je termine au final en 3h48'26" à la 403ème place sur 1054 arrivants alors que nous étions plus de 3000 au départ.

 

Un départ difficile à gérer car le Semi-Marathon et le Marathon relais partent  en même temps.

 

Des ravitaillements des plus aléatoires, le premier au 3ème, le second au 7ème. Quand on à l'habitude de gérer son Marathon tous les 5 km, pas évidents du tout.

 

En plus pas de sucre au ravitaillement, juste des oranges et des bananes, question liquide de l'eau et des boissons isotoniques sur les premiers ravitaillements.A compter du 25ème, du coca fait en plus son apparition, bien venu pour essayer de combattre la faitigue accrue par la nuit tombante.

 

Un Marathon open pour sportifs aguerris, les chronos parle d'eux-même, 2h19 pour le 1er homme (kenyan) et 2h39 pour la 1ère fémine (kenyanne).

 

Sinon, le parcours est des plus vallonnés avec des passages dans différents parc de la ville rendant celui-ci plus agréables, le coeur du centre ville ou nous empruntons les rues piétonnes voient alors une foule immense de supporters nous encourageant, ,scandant nos prénom visible sur le dossard.

 

A mettre une prochaine édition sur le calendrier du club, je pense.

 

En redescendant vers l'hôtel, je fis la connaissance d'un jeune couple, qui me demandant conseil me rendit le moral me faisant par la même occasion oublié mes crampes qui se réveillèrent à 1h00 du matin.

 

PS: Pour info, le demi est à 3,5€

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 16:07

parcours-luxembourg.jpg

 

Avec un parcours aussi sinueux et quasiment autant de coureurs que sur le Marathon de Paris, je pense qu'il me sera bien difficile de faire aussi bien qu'à Marseille.

 

Souffrant encore légèrement de la cheville gauche, j'y vais pour le fun de faire un Marathon en semi-nocturne.

 

Départ à 18h00, j'espère quand même arriver un peu avant 22h00.

 

La pression commence à monter, j'espère déjà arriver à temps pour povoir retirer mon dossard, je dois arriver sur l'aire de départ avant 17h00 en ayant pris mes clés à l'hôtel juste avant, je souhaite pas trop de bouchons sur la route.

 

Maintenant les dés sont lancés... 

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 11:09

Pour tous ceux qui n'ont pu découvrir l'intégralité du parcours, voici 2 vidéos embarquées bien faites.

 

http://www.youtube.com/watch?v=aejp7bKYSvw&NR=1

 

et

 

http://www.youtube.com/watch?v=I6aLEYks3uI&feature=channel

 

Voila, c'est tout pour aujourd'hui, en attendant quelques photos de Luxembourg, samedi.

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 18:30

"Plus jamais", ce sont les mots de Jean Philippe qui s'est essayé sur un vrai Trail cette fois-ci.

 

"Dur, terrible, épouvantable" furent les mots de nos adhérents qui firent la côte d'Arcier.

 

"Agréablement surpris" furent les mots de notre Président, qui après avoir boucler son pélerinage à St-Jacques de Compostelle et ses 1er 100 km pour Millau 2010. Ce ne serait pas surprenant de le voir enquiller sur l'UTMB.

 

"Millau 2011", le rendez-vous est noté sur le caledendrier de l'ACR pour certains effectuer leur premier Marathon (pour Fabrice) et pour d'autres leur premier 100 km (peut être pour notre increvable Véro)

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 07:43

Une fois n'est pas coutûmes, l'ACR Dijon conjugue le bien être, la convivialité et les performances.

 

Tout d'abord, retour sur nos 2 équipes, Les Barjeauds (composée au départ de Grégory, Lionel et Alain), équipe que je rejoins après défection de Grég. termine à la grande surprise à la 10ème place au scratch sur 78 soit 8ème sur 33 équipes homme et quand à l'équipe "Les costauds" (Fabrice, Jean Philippe et Kévin) termine à la 16ème place scratch et 11ème sur 33 équipes homme.

 

De son côté Benoit coupé dans son entraînement rejoins Jean Pierre sur la nouveauté de cette année, le 28 km. "Un parcours 100% trail ou les difficultés se multiplièrent à vitesse grand V" selon les commentaires de Benoit en ce début d'après midi.

 

Soulignons cependant leur performance,Benoit termine en 3h09'32" à la 128ème place sur 551 et 71ème sénior sur 223 et Jean Pierre quand à lui termine en 3h27'04" à la 241ème place et 22ème V2 sur 68.

 

Mais l'épreuve phare reste ce dernier nouveau parcours de 45 km qui voit le retour d'Alain Pardon et la découverte de la moyenne distance pour Véronique ainsi que Daniel Chambin, notre V3 spécialiste des longues distances.

 

Tout le monde reconnaitra comme moi le Panache de Véronque terminera 4ème V1 sur 18 et par le jeu du non cumul fera un podium de plus et quel podium. Elle termine en 5h38'03" à la 174ème place sur 445.

 

Et quand à Alain souffrant encore un peu des muscles fessiers terminera en 5h55'19" à la 246ème place et 24ème V2 sur 74.

 

On notera la performance de Daniel qui termine ces 45 km en 6h30'12" à la 359ème place et 4ème V3 sur sur 7

 

Et pour notre ami Jean Pascal, fidèle à lui même, terminera le sourire au lèvres en 5h41'45 à la 194ème place et 85ème V1 sur 154.

 

Et quand à mon ami postier, Alain aurait du mal à l'accrocher puisqu'il termine 24ème en 4h34'20" et 11ème V1.

 

Et comme Monsieur joue les modestes voici ces propos recueillis cet après midi à 16h41.

 

"Mdr....ma foulée aérienne !!!.j'ai quand même fait un deuxième tronçon moyen, j'arrivais pas à digérer mon gatosport du matin !

j'ai arrêté de boire un moment pour que ça passe, j'avais l'estomac rempli...

ça allait mieux après les sources d'arcier (36ème km), j'ai bien monté la dernière difficulté !

ça été galère quand même avec les coureurs du 28kms, quelle perte de temps à certains endroits, j'étais carrément arrêté face à certaines difficultés, y'avait des bouchons !

bon, dans l'ensemble, je m'en sors pas trop mal, je voulais faire 4h30...pour 4'....je vais pas en faire un plat !

j'espère que ta cheville a bien tenue !

on a essayé de te trouver à l'arrivée...mais impossible ?

à +"

 

 

  

 

 

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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 19:26
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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 07:58

Devant palier l'absence de Grégory dans l'équipe 2, ce sera sans doute l'an prochain que je découvrirais les 45 km en solo.

 

En effet, je me rallie donc à la seconde équipe pour la bonne cause et en même cela me permettra aussi de récupérer de mes micros blessures multiples avant d'appréhender le Marathon du Luxembourg samedi prochain. 

 

citadelle-2010.jpg

 

En attendant, et mal grès un terrain qui s'avérera piégeur et glissant, nous passerons sans doute une 3ème mi-temps des plus agréables.

 

Vivement demain.

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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 21:19
UTMB
Ultra-trail du Mont-Blanc, grand raid de la Réunion, raid du Mercantour, Desert-Cup… Épreuves de l’ultime et défis vertigineux qui ont en commun des distances et des dénivelés astronomiques. Avec un minimum de préparation, vous pouvez projeter à moyen terme une de ces épreuves mythiques…

Vendredi 24 octobre, 4 h 00 du matin, plus de 2 000 coureurs pénètrent dans le sas de départ du grand raid de la Réunion au son du tam-tam, la lampe vissée sur la tête et le regard tourné vers les 130 km et 16 000 mètres de dénivelé cumulés. 16 à 60 heures de course les attendent ! Difficultés du parcours mais aussi ambiance festive et popularité, le grand raid reste La Mecque incontestée des trailers. Le nombre de participants démontre toutefois qu’il ne s’agit pas seulement d’épreuves pour spécialistes, mais bien que l’ultra-trail est abordable aussi par le plus grand nombre moyennant un minimum de préparation.

 

Difficulté relative
L’ultra-trail n’est pas si difficile pour les coureurs moyens dans la mesure où l’objectif consiste, avant tout, à finir le parcours. Le rythme s’apparente plus à de la rando-course qu’à un effort « chronométrique » comme pour le marathon. D’excellents marcheurs résistent souvent mieux aux efforts longs que des coureurs inexpérimentés. À partir de quarante à cinquante kilomètres en endurance, le « mal de jambes » n’augmente plus vraiment et il s’agit alors surtout d’avoir une bonne gestion de la course et un mental à toute épreuve pour supporter les hauts et surtout les bas. Lors d’une première, il est préférable de sélectionner une course avec des délais de temps suffisants pour ne pas subir la pression d’un chrono éliminatoire.

 

Préparation
On ne prépare pas une épreuve d’endurance en ne faisant que de l’endurance au même titre qu’on ne prépare pas une course de 130 km en s’imposant 130 km tous les week-ends !


Première raison : la fatigue et la récupération. À moins d’être suivi par un kiné et d’avoir tous ses après-midi pour récupérer, un coureur de niveau moyen n’accumulera que de la fatigue à faire des sorties trop longues. Pour ma part, les séances d’endurance sont de 2 heures en course à pied et de 4 heures en rando-course en montagne. Cela suffit largement pour travailler l’endurance, même pour les efforts de course supérieurs à 5 heures. Il faut absolument privilégier la fraîcheur physique, à la fois dans l’attente d’une course qui demandera des réserves maximales mais aussi pour être capable d’assimiler l’entraînement qui se doit d’être varié chaque semaine.

 

Deuxième raison : un entraînement doit varier toutes les semaines. Dans les ultra-trails, vous avez besoin de « punch » pour passer les bosses et de rythme pour les parties plates. Il faut donc prévoir une séance de résistance et une de VMA chaque semaine. Cela procure une marge de facilité au niveau rythme lorsque vous êtes dans l’effort d’endurance. Cœur et muscles sont aussi entraînés pour les zones d’intensité supérieures (côtes raides, relances…)


L’endurance se travaille seulement une ou deux fois par semaine, sans prévoir de parcours trop long, afin de récupérer pour les séances de la semaine suivante.

 

Lorsqu’il y a un fort dénivelé, une séance de renfort musculaire hebdomadaire est également à planifier. Pour le dénivelé, c’est la même chose, il vaut mieux travailler à l’occasion de séances intensives et courtes que de faire des sorties au-delà de 1 500 m de dénivelé. Des séances de huit à dix côtes (ou escaliers) de 30 secondes à 1 mn 30 s permettent un travail de renforcement musculaire adéquat. Cela permet d’appréhender en course les dénivelés de 2 000 m ou 3 000 m, alors qu’au cours de l’entraînement, cela génère une accumulation de fatigue trop importante.

 

Matériel et alimentation
Le choix du matériel est très important. Le plus petit problème prend une ampleur exponentielle avec les kilomètres. Bien sûr, il faut privilégier la légèreté mais un coupe-vent, une casquette, des gants et une réserve « vitale » de nourriture sont essentiels. Les conditions de température et la météo varient en altitude ou la nuit… d’autant plus avec la fatigue de la course.


Pour l’alimentation, les boissons énergétiques et gels sucrés auront du mal à passer après les cinq premières heures de course. Il est donc préférable de prendre ce qui est sur les ravitaillements (bananes, fruits secs, barres, gâteaux, etc.) et de manger et boire régulièrement entre les ravitaillements.

 

Absorber du salé régulièrement (une soupe, par exemple) vous redonnera goût au sucré un peu plus tard. En cas de faim, il ne faut pas hésiter à manger des pâtes, du pain et du fromage… La digestion se passe relativement bien en endurance et la diffusion à moyen terme de l’énergie ne sera pas inutile.

 

Gestion de course
C’est bien là que se situe le cœur du problème des ultra-trails, car il y aura forcément des hauts et des bas à affronter ! Une bonne gestion de course se base avant tout sur la régularité.


On comprendra alors qu’il faut démarrer doucement. Un bon principe consiste à monter les premières côtes à la vitesse où l’on pense pouvoir monter les dernières (se référer à ses dernières courses). Le temps « perdu » par un départ lent peut aisément se rattraper sur la fin du parcours.

 

Autre point primordial : éviter les à-coups ! Il ne faut pas hésiter, en début de parcours, à marcher pour passer les talus ou les petites côtes de 10 ou 20 mètres. Tous ces efforts au-dessus du rythme moyen se paieraient cher plus tard. Il faut donc planifier d’arriver « frais » à la mi-course.


Malgré la prudence et un ravitaillement régulier, l’expérience montre que le rythme de chacun oscille : on double (et on se fait doubler) régulièrement par les mêmes coureurs dont la forme oscille aussi. Il faut impérativement faire la course à son rythme sans chercher à s’accrocher, ni même à surveiller le comportement des autres.

 

Les oscillations sont aussi plus fortes par moment : euphories ou coup de barre ! Méfiez-vous de ces moments d’euphorie qui pourraient se traduire par des accélérations au-dessus de la moyenne. Vous les paieriez plus tard. L’euphorie est souvent le signe d’un coup de barre imminent !


Et côté coups de barre, les connaître et les gérer, c’est la clef pour faire de l’Ultra. C’est normal d’en avoir quelques-uns sur de longues distances, même lorsque l’on fait une bonne performance et même lorsqu’on est parti prudemment. Il faut savoir être assez lucide dans ces moments difficiles pour agir au mieux et au plus vite. La solution : ralentir, se ravitailler, positiver !

 

Ralentir, c’est prendre conscience de son état et libérer des forces pour agir. Se ravitailler (manger et boire), c’est apporter de l’énergie pour résoudre le problème. Positiver, c’est considérer que c’est « normal », « classique » et que la forme va revenir un peu plus tard, en dix ou quinze minutes, le temps que le ravitaillement fasse effet.

 

Il m’est arrivé de doubler des coureurs qui titubaient de fatigue, qui eux-mêmes m’ont redoublé vingt kilomètres plus loin, totalement remis de leur abattement. Il ne faut pas hésiter à s’arrêter totalement un quart d’heure pour se reposer mentalement le temps que l’alimentation fasse son effet. Ainsi, Cléo Libelle (vainqueur entre autres de 2 grands raids de la Réunion) pratique des microsiestes de cinq à dix minutes quand il est fatigué. Cela paraît difficile à croire et pourtant, il a su ainsi finir plusieurs fois sur le podium !

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