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  • : Blog de Vincent, coureur ASPTT Paris Jogging
  • : Point de vue d'un passionné de course à pied au travers de ces diverses sorties solo ainsi qu'au sein de son club.
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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 14:12

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 06:42

Aujourd’hui, tout cela nous semble drôle, mais, par le passé, tous ces trucs de coureurs ont pourtant bien fonctionné.

1863 Deerfoot, un Indien nord-américain, a battu le record du monde de l’heure en course à pied, à 90 ans. En mocassins, alors qu’il ne s’entraînait pas. 


1882 Walter George établit des records mondiaux sur toutes les distances de l’époque, du 1 000 m au semi-marathon, en sprintant durant 3 kilomètres, tous les jours. 


1896 Louis Spiridon, petit berger grec, a bu 2 verres de vin lors du premier marathon olympique. Et il a gagné. 


1902 Joe Binks a battu le record du monde du 1 500 m en 4’ 16” 8, grâce à un seul entraînement par semaine, uniquement composé de 6 petits sprints.

 
1904 Le champion du marathon olympique des J.O. de St Louis (États-Unis) a dû affronter une température de 32 °C durant la course. 


1908 Charles Heffer a bu du champagne lors du marathon olympique, avec, pour résultat, des crampes d’estomac durant les derniers kilomètres. Il a raté la médaille d’or à cause de cela. 


1912 La légende du marathon de Boston, Clarence DeMar, a dû arrêter de courir durant cinq ans, car les médecins lui avaient dit qu’à long terme, la course de fond était mauvaise pour le cœur…

 
1920 À cette époque, on décourageait les sprinteurs de boire au cours de leurs entraînements. À l’exception, peut-être, d’une sorte de gruau à base de flocons d’avoine. « On disposait sur la piste un seau de gruau et on laissait tremper les flocons d’avoine dans l’eau pendant 1 heure environ » écrivait à l’époque un médecin du nom de Bilik, dans La bible de l’entraînement (1927). « Cela permettait aux coureurs de se rafraîchir la bouche en prenant une gorgée. » 


1920 Les coureurs de cross étaient invités à rester bien chaud lorsqu’il faisait froid, en se massant avec du saindoux, de l’huile de coton ou une crème grasse (liniment). 


1928 On servait du vin aux ravitaillements durant le marathon olympique. 


1970 Environ 300 kilomètres par semaine. Une distance populaire parmi les marathoniens et tous les coureurs. Si beaucoup réalisaient de bons temps, beaucoup se blessaient. 


1972 Avant cette année-là, le 1 500 m et le 800 m étaient les deux distances les plus longues pour les coureuses lors des J.O. Les organisateurs pensaient que courir sur des parcours plus longs serait trop dur pour elles. 


1975 Bien avant les brassières de sport, Jacqueline Hansen, première femme à descendre sous les 2 h 40’ au marathon, a dû improviser. « Le marathon d’Honolulu était si chaud cette année-là, que j’ai dû retirer mon t-shirt. Je portais un haut de bikini rose ! »

 
1984 Les femmes sont enfin autorisées à courir aussi longtemps que les hommes lors des J.O. ! C’est le début du marathon féminin, avec Joan Benoit Samuelson, qui remporte la médaille d’or en 2 h 24’ 52”.

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 21:02
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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 14:14

LS 1000kilc’est une course très très dure, et très heureuse d’avoir été au bout. J’ai été despérée pendant 2 jours car j’avais du mal à courir. J’ai bien débuté la course avec des douleurs. Il faut puiser dans ses réserves, son mental. C’était dur car c’est le corps qui décide.

 

Heureusement que le parcours est magnifique. C’est un mélange de tout en fait. On veut faire bien, vite, on veut finir. C’est très spécial à vivre, car on passe dans tous nos états. Je ne pense pas le revivre. On est dans l’instant présent, dans la course, on pense à se protéger quand on est sur la route 

 

J’avais une stratégie en tête,  .c’est-à-dire de faire autour de 100 km par jour. Mais j’avais des douleurs, c’est ça qui a été le plus contraignant car peu de plaisirs à courir. J’ai couru un peu de nuit mais sans plus.

 

Avec mes suiveurs, ça s’est bien passé (Hubert et Jean). Dans ce type d’épreuve, je constate que le suiveur est un élément très important pour le coureur. Il s’occupe de tout, son intendance. Il fait partie de la victoire. Quand je vois Jean Michel terminer devant moi tout seul avec son sac, sans accompagnateur, c’est énorme !

Fin 2012, 2013, j’aimerais faire des courses Ultra que je ne connais pas encore. Variés les plaisirs avec l’olympienne par exemple ou des courses françaises".
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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 09:11

Membre du Team Yanoo depuis 2 ans maintenant, c'est avec plaisir que je fis la connaissance de Christophe Falganon sur les France de 24 heures 2011 à Séné.

Merci à toi pour ces portraits de coureurs du Team, cela permet de voir quels sont les autres coureurs du Team.

http://www.yanoo.net/index.php?load=news&key=1940

Portrait3

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 13:50

Une épreuve unique

 

Il me semble à chaque fois retrouver les sources de la course à pied. Celles où le coureur est seul face à lui-même et à son défi : battre un record de France, remporter la course, un titre, améliorer sa marque personnelle, rester en piste 24 heures, se prouver qu’on existe , voir jusqu’où on peut aller… Peu importe les raisons. La chaleur est la même pour tous, la nuit aussi longue, le face à face avec soi-même identique. C’est ce qui rend cette course si exceptionnelle.

 

A la fois terrifiante mais aussi terriblement envoûtante. Elle pousse l’être humain à ses limites, le laissant dans un dénuement qui ressemble à celui de nos origines ou l’essentiel était  de se nourrir, de boire et de survivre. Dans ce cas, survivre c’est avancer, coûte que coûte.

 

Une façon de retrouver un peu de la pureté originelle dont la société actuelle nous a éloignés en créant artificiellement nombre de besoins.

 

Un coureur de 24 heures c’est un peu un conquérant de l’inutile. Et c’est ce qui fait sa beauté à mes yeux.

 

Bruno Heubi

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 22:56

Aout 2006, Je vais m'élancer sur mon premier ultra, il y a encore quelques mois, je n'avais jamais enfilé de dossard. 1 semi-marathon et 4 marathons seront passés par là; mais je suis un bleu. Jai signé pour 168 km avec 8000 m de dénivelé possitif en me demandant si je serais capable d'aller au bout.

 

creuse1.jpgMon entraînement? il consista à enchaîner plusieurs entre 75 et 100 km avec du dénivelé, ce qui à l'époque était pour moi un volume très important. Sur la ligne de départ, un coureur moins disponible que moi pour s'entraîner  et à qui j'avais confier ma préparation me regarda de haut en hochant la tête et me dit, "Mais ça sert à rien d'en faire autant"

 

Cette remarque toucha en plein mon orgueil de jeune coq et refroidit aussi sec mon enthousiasme de débutant. Et puis, c'est le départ, je ressasse cette remarque. Mais pourquoi il faudrait que cela serve à quelque chose? Sans me douter qu'il s'agit là de l'acte fondateur de ma condition de néo-coureur d'ultra.

 

Depuis 5 ans ont passé. Au début, j'ai essayé de respecter les grands principes de l'entraînement tels qu'ils ont été décrits dans des magazines de Running et Trail bien connus. M'astreignant à faire certaines séances sûrement utiles pour progresser mais sans plaisir. Et puis depuis 3 ans, je me suis réconcilié avec ma condition de coureur.Vincennes2

 

Changement d'approche très simple à assimiler: "Un entraînement sans plaisir est un mauvais entraînement." Avec en corolaire, j'aime courir souvent, beaucoup, longtemps. Avant même de savoir si c'est vite ou pas, si c'est utile pour développer telle ou telle qualité. Un seul but: le plaisir. Aussi simple que cela. Ce n'est pas comme ça que l'on s'entraîne? Ah bon, moi si.Ce n'est pas comme cela que l'on progresse? Ben moi, je m'en fiche (et en plus, je progresse quand même)

 

Je ne recherche pas l'optimisation.Alors je cours souvent, beaucoup et longtemps.Sans planification millimétrée, sans séance figée, sans trop savoir ce que je vais faire ni où je vais aller lorsque je lace mes baskets. Sans cette nécessité de résultat ou d'objectif immédiat; quand je cours, je ne suis pas au boulot! Courir souvent, beaucoup et longtemps: quelle que soit la course préparée. Et si ça ne sert à rien, c'est tant mieux.

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 06:35

Magazine connu surtout dans le monde du Trail et dans le quart Nord Ouest de la France, pour lire le Mag complet, Cliquer sur le lien.

 

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 20:20


Voilà mon ami Bertrand voulait que je fasse mon auto-portrait, je ne suis pas très doué pour parler des autres, alors quand à moi...

15/04/2009 1 000m 3'21''05 Acr dijon BOU / 021 Dijon
15/04/2009 3 000m 11'38''98 Acr dijon BOU / 021 Dijon
21/06/2009 10 Km Route 39'51'' Acr dijon BOU / 021 Suresne
15/03/2009 1/2 Marathon 1h34'08'' Acr dijon BOU / 021 Antony
03/07/2008 1 000m 3'24''20 Acr dijon BOU / 021 Dijon
31/05/2008 5 000m 19'34''16 Acr dijon BOU / 021 Antony
06/04/2008 10 Km Route 41'34'' Acr dijon BOU / 021 Bonneuil sur marne
20/04/2008 15 Km Route 1:10:40 Acr dijon BOU / 021 Lindry
16/11/2008 1/2 Marathon 1h34'07'' Acr dijon BOU / 021 Boulogne billancourt
16/06/2007 5 000m 20'08''90 Acr dijon BOU / 021 Dijon
18/11/2007 1/2 Marathon 1h39'51'' Acr dijon BOU / 021 Boulogne
29/04/2007 Marathon 4h33'15'' Acr dijon BOU / 021 Annecy
09/06/2007 Javelot (800 g) 14m16 Acr dijon BOU / 021 Dijon
09/09/2006 1/2 Marathon 1:41:57   Non licencié(e) le 09/09 BOU / 021 Dijon
23/04/2006 Marathon 3h41'34'' Acr dijon BOU / 021 Lyon
10/09/2005 1/2 Marathon 1h26'39'' Acr dijon BOU / 021 Dijon
22/10/2005 Marathon 3:46:44 Acr dijon BOU / 021 Marsannay la côte
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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 20:29

Que dire sur lui que je ne connais que depuis quelques mois. Si ce n'est qu'il est partagé comme moi par la même passion des longues distances.

Comme vous pouvez le constater sur son bilan sportif, plus la distance est longues et plus sa vitesse augmente, cela m'étonne encore un peu aujourd'hui que je ne l'ai point encore vu sur un 24H.

Lors de notre dernière discusion, il m'a semblé qu'il serait presque partant pour des courses par étapes, peut être m'accompagnera-t-il sur le 1er Tour de l'Eure et Loire en juillet prochain.

Quoiqu'il en soit, j'essaye de le faire venir à l'ACR car c'est vrai que je me sens souvent seul lorsque je me lance sur des Ultra-trails.

J'espère que cet homme des plus modeste nous rejoindera bientôt.


05/04/2009 10 Km Route 36'58''   Non licencié(e) le 05/04 / Besancon
14/10/2007 1/2 Marathon 1h22'04''   Non licencié(e) le 14/10 BOU / 021 Vesoul
25/11/2007 Marathon 3h09'21''   Non licencié(e) le 25/11 BOU / 021 La rochelle
22/04/2006 10 Km Route 37:33 Us liffre BRE / 035 Ouges
09/09/2006 1/2 Marathon 1:23:59   Non licencié(e) le 09/09 BRE / 035 Dijon
13/11/2005 Marathon 3h13'56'' Us liffre BRE / 035 Monaco (MON)


Le problème c'est que son palmares est bien plus surprenant que celui-ci mais la FFA ne tient pas encore compte des Trails, Ultra et autres 100 km.

C'est un peu mon idoles tant par sa combativité que par sa bonté et sa générosité.

A quand sur un 24H, cette photo est issue du Trail de l'infernal en Lorraine samedi 13 septembre ou il termine 12ème sur 82 arrivant en 8h32'23" pour 72 km avec un dénivelé important  et de départ de nuit. 

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